Cela fait presque deux heures que j’ai commencé à étudier votre cas, j’ai donc décidé de vous écrire car je ne peux pas dormir jusqu’à ce que je résolve votre cas. Je vois bien que bientôt (dans moins d’un an) j’envisage de me marier avec quelqu’un que vous aimez beaucoup et de vous régaler autant.

Ce n’est pas un problème… De manière inquiétante, au-delà de cela, la jalousie de votre ennemi à votre égard semble susceptible de réveiller de vieux ennemis. Ces personnes que vous continuez à rencontrer à certaines occasions sont soumises à une forte pression et vous êtes censé faire des erreurs.

Je sais que vous avez suffisamment de ressources pour survivre aux difficultés sans aide extérieure, mais je crains que vous ne réagissiez trop tard et que vous ne soyez aveuglé par le bonheur que vous ressentirez bientôt. Vous devez m’appeler ou le résultat sera pire qu’il ne devrait l’être.

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